Résumé de l'article :

Le format Flash de Macromedia a toujours été considéré, depuis qu'il existe, comme une source de problèmes pour le référencement d'un site qui l'utilise. Si l'ajout de petites animations Flash à l'intérieur d'un site bâti en HTML ne pose généralement aucun souci, un site web conçu 100% en Flash reste aujourd'hui encore quasi invisible pour les moteurs. Deux ingénieurs canadiens nous explicitent pourtant dans cet article une méthodologie qu'ils ont mise en oeuvre pour obtenir une visibilité beaucoup plus forte sur Google et consorts à ce type de site. Explications...

Début de l'article :

Avec une progression de plus de 98 % (donnée provenant des statistiques d'Adobe), la technologie "Flash" est devenue l'un des formats les plus répandus dans la création d'applications interactives, de jeux ainsi que de diffusion vidéo sur Internet.

Or, de nos jours, plutôt que de taper l'URL directement dans la barre d'adresse du navigateur, l'un des premiers réflexes de l'internaute est de trouver l'information ou le site désiré via un moteur de recherche.

[Illustration]

Cette habitude incite donc à soulever une question : par le biais d'un moteur de recherche, est-il aussi aisé de repérer, dans les résultats affichés, les sites qui utilisent la technologie "Flash" que ceux en format HTML ?

Comprendre les résultats

Google étant, sans contredit possible, le moteur de recherche le plus fréquenté dans de très nombreux pays, nous l'avons choisi (NDLR : dans sa version canadienne, les auteurs de cet article étant basés dans ce pays) comme référence afin d'effectuer quelques recherches et analyses pour mieux comprendre l'impact du "Flash" dans les résultats. Dans le graphique ci-dessous, nous retrouvons donc une comparaison des résultats de recherche entre un site "Flash" et un site développé en langage HTML.

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Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).